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Think 2021 : « L’urgence écologique doit se penser à l'échelle internationale » (Juliette Raoul-Duval)

News Tank Culture - Paris - Actualité n°227865 - Publié le 09/09/2021 à 15:40
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©  Seb Lascoux
©  Seb Lascoux

« Au ministère de la Culture, nous avons deux volets de fonctions. La première, c’est de représenter les enjeux de la culture dans les grands chantiers interministériels. Nous sommes là lorsque des lois importantes qui vont impacter la culture sont en préparation. Nous venons de terminer le cycle relatif à la convention citoyenne pour le climat. Il y avait des enjeux importants en termes d’architecture, de publicité pour le ministère de la Culture. Nous faisons attention à ce que les intérêts de la filière ne soient pas altérés par des exigences qui seraient antagonistes avec la création par exemple. Ensuite, il existe une dimension plus interne. Il faut que le ministère de la Culture soit un service public éco-responsable. L’objectif étant que lui et ses opérateurs respectent les cadres légaux minimaux (tri des déchets, recyclage, bâtiments, achats etc.) », explique  Olivier Lerude Chef de projet Territoires de culture durable @ DRAC Île-de-France
• Professeur agrégé d’histoire• Docteur en sciences politiques • Architecte urbaniste en chef de l’État
, haut-fonctionnaire chargé du développement durable au ministère de la Culture, lors du débat « L’urgence écologique : quel rôle incitatif et/ou réglementaire de l’État ? », dans le cadre de la 6e édition de Think Culture au Centre Pompidou (Paris 4e), organisée par News Tank Culture, le 07/09/2021.

« Oui, il y a l'État, mais les collectivités territoriales sont aussi des acteurs importants, et vont être des acteurs majeurs dans le champ de l’incitation ou de la prescription sur ces sujets. (…) Également, ces sujets ne peuvent se penser qu’à l’échelle internationale. La France va bientôt prendre la présidence à la Commission européenne pour six mois. Préparons des mesures d’incitation innovantes et originales », ajoute Juliette Raoul-Duval Présidente @ ICOM Europe
, présidente d’ICOM The International Council of Museums France.

News Tank rend compte des échanges.


Intervenants
  • Olivier Lerude, haut-fonctionnaire chargé du développement durable au ministère de la Culture
  • Juliette Raoul-Duval, présidente d’ICOM France« 
  • Laurence Recchia Co-fondatrice, administratrice et chanteuse @ • Co-fondatrice et coordinatrice générale @ FiMé Festival nternational des Musiques d'Écran
    , administratrice de l’ensemble « Les voix animées »
  • Thierry Teboul Directeur général @ Afdas
    , directeur général de l’Afdas
  • Modération : Bruno Ory-Lavollée Président @ Médiathèque Musicale Mahler • Conseiller maître @ Cour des comptes • Président @ Festival des Forêts
    , conseiller maître à la Cour des comptes, et président du Festival des Forêts

« La crise sanitaire nous donne ce vertige d’avoir fait une répétition générale de ce qui nous attend » (Laurence Recchia)

  • « Le développement durable n’est pas une politique du ministère de la Culture. Les politiques de développement durable et les budgets afférents sont gérés par le ministère de la Transition écologique. On parle d’une déclinaison d’une politique d’un autre ministère au sein du ministère de la Culture. 
  • À l’inverse, il n’y a pas de mission culture au ministère de la Transition écologique. Ils font des lois qui s’appliquent notamment aux acteurs de la culture. 
  • Au ministère de la Culture, nous avons deux volets de fonctions. La première, c’est de représenter les enjeux de la culture dans les grands chantiers interministériels. Nous sommes là lorsque des lois importantes qui vont impacter la culture sont en préparation. Nous venons de terminer le cycle relatif à la convention citoyenne pour le climat. Il y avait des enjeux importants en termes d’architecture, de publicité pour le ministère de la Culture. Nous faisons attention à ce que les intérêts de la filière ne soient pas altérés par des exigences qui seraient antagonistes avec la création par exemple. 
  • Avec la crise sanitaire, la thématique du monde d’après a été particulièrement reprise par la culture »

    Ensuite, il existe une dimension plus interne. Il faut que le ministère de la Culture soit un service public éco-responsable. L’objectif étant que le ministère et ses opérateurs respectent les cadres légaux minimaux (tri des déchets, recyclage, bâtiments, achats etc.). Nous créons des outils que, la plupart du temps, nous mettons à disposition de toute la filière. 

  • Un dernier aspect est que le ministère de la Culture est en contact direct avec les structures culturelles, même si elles ne sont pas publiques, car l’intérêt pour les questions écologiques est global. Le monde de la culture, par rapport à d’autres secteurs professionnels, est particulièrement sensible aux questions écologiques. Cela a émergé il y a quelques années avec beaucoup de force.
  • Quand on s’intéresse à la culture, on s’intéresse à l’avenir de la planète, à son humanité. Tous ces mots résonnent pour chacun d’entre nous. Ces questions sont importantes. 
  • On a observé cet engouement, cette demande pour qu’il y ait une politique culturelle du développement durable et des mesures qui soient prises. Tous les secteurs professionnels ne sont pas aussi intéressés par cette question. 
  • Avec la crise sanitaire, cet intérêt a été démultiplié et la thématique du monde d’après a été particulièrement reprise par la culture. »

    Olivier Lerude
  • Laurence Recchia - ©  Seb Lascoux
    « Pendant le premier confinement, j’ai été interpellée par la tribune ”Cadence Rompue - pour un monde musical, écologique et social” sur laquelle nous avons recensé, avec les 1 000 autres musiciennes et musiciens signataires, des engagements que nous avons déjà au sein de nos structures. 
  • Nous avons tous tendance à tendre vers des pratiques vertueuses. On s’interroge tous sur le nouveau modèle qui doit émerger aujourd’hui et sur la manière dont nous devons transformer notre monde musical pour qu’il soit davantage en lien avec notre quotidien. 
  • Nous avons tous des pratiques, à commencer par les gourdes qui viennent remplacer les bouteilles d’eau. Ce sont comme des petites graines que l’on sème tous pour sensibiliser nos partenaires, les artistes et le public. 
  • Dans notre cas d’ensemble vocal installé en région Sud, nous avons créé des projets sur notre territoire et travaillons sur un périmètre raisonnable et raisonné. Ce n’est pas toujours facile puisque l’ensemble est constitué d’intermittents du spectacle qui viennent d’un petit peu partout. La préoccupation des transports est une interrogation qui nous traverse au quotidien.
  • Avec la crise sanitaire, tout ce lot de suspensions, d’arrêts et de réglementations, nous donne ce vertige d’avoir fait une répétition générale par rapport à ce qui nous attend.
  • C’est réconfortant de voir à quel point le ministère de la Culture est sensible à ces questions. 
  • Avec la Fevis Fédération des ensembles vocaux et instrumentaux spécialisés , nous sommes 170 ensembles tous un petit peu isolés. Ce sont des préoccupations que nous sommes heureux de partager.
  • J’ai découvert, à travers une tribune du collectif “Pour une écologie de la musique vivante”, une contradiction qui me semble importante :

Aujourd’hui les artistes, les producteurs et les productrices vivent des injonctions contradictoires avec, d’un côté, l’exhortation à multiplier les représentations, notamment à l’international, toujours plus loin, toujours plus visibles, et de l’autre côté, l’exhortation des climatologues à limiter les émissions de carbone et la production de déchets. Dans ce contexte, réduire sa mobilité pour diminuer son impact écologique induirait de s’invisibiliser professionnellement. Le virage ne pourra pas être entrepris par les artistes seuls. Nous appelons aujourd’hui à une convergence des acteurs et actrices de la musique ainsi qu’à la mise en place d’une politique publique pour la musique vivante.

  • Dans notre filière musicale, nous employons des intermittents sur des territoires. Peut être faudrait-il tendre vers une logique de troupe, de compagnie, pour lutter contre ces critères de l’excellence qui se basent sur l’export, sur la quantité, et en se concentrant sur la qualité, sur des projets plus locaux. »

    Laurence Recchia
  • « À l’Afdas Assurance formation des activités du spectacle - OPCO (Opérateur de compétences agréé par l'État) des secteurs de la culture, des industries créatives, des médias, de la communication, des… , nous sommes des agents de la transformation. Puisque les institutions sont sommées de s’intéresser à ce sujet, notre rôle est à la fois d’accompagner les organisations et les entreprises adhérentes sur la mise en œuvre de diagnostics et de formation en la matière et de les financer. 
  • Nous avons lancé, à l’initiative du conseil d’administration de l’Afdas, un appel d’offres sur les formations qui permettraient d’accompagner les PME Petites et moyennes entreprises et les TPE Très petites entreprises dans leur transformation. »

    Thierry Teboul

« Le monde de la culture ne doit pas hésiter à aller voir les dispositifs du ministère de la Transition écologique » (Olivier Lerude)

  • Il n’y a pas de budget au ministère de la Culture pour ces sujets de développement durable. Je gère un petit budget qui est pris sur celui du secrétariat général, encore une fois par volontarisme. Cela me permet de soutenir toute une série d’acteurs particulièrement engagés. Cela reste, en termes de financements, forcément minoritaire. 
  • Il ne faut pas hésiter à aller voir les dispositifs du ministère de la Transition écologique. S’ils ne sont pas fléchés spécifiquement sur le monde de la culture, ce dernier peut y prétendre. 
  • Le plan de relance a créé quelques éléments financiers très spécifiques, notamment pour la presse et via un dispositif sur la rénovation des salles de spectacle vivant. Mais un tiers du plan de relance représente des mesures qui concernent l’urgence écologique avec des financements très importants auxquels tous les acteurs de la culture ont le droit comme tous les acteurs en général. Qu’on soit un festival, un musée ou une salle de spectacle, on peut parfaitement se diriger vers ces guichets.
  • Olivier Lerude - ©  Seb Lascoux
    À l’occasion du plan de relance, il est question du PIA 4. Toute une partie de ce plan est dédiée aux ICC. À l’intérieur de ce dispositif, l’un des axes porte sur l’urgence écologique. On a un peu rédigé ça comme une lettre au Père Noël, et tout est passé. Il y aura un tas d’appels à projets et des crédits vraiment importants qui ne viennent pas du ministère de la Culture, mais sont des crédits de relance. Parmi les appels à projets considérés comme prioritaires, il y a les alternatives vertes. Cela va permettre de décupler les moyens d’accompagnement. 
  • Avec le temps, d’autres mesures de développement durable vont arriver, notamment celle de rendre les processus de production plus verts. Un gros effort sera fait sur les outils, en particulier les outils de mesure. C’est un serpent de mer dans le monde de la culture. On va essayer de créer et de financer une dizaine d’outils qu’on proposera au secteur.
  • Le troisième temps sera probablement sur les questions de reconnaissance du monde de la culture comme acteur de la transition écologique, à la fois via un développement des outils et une valorisation de ces aspects et, d’autre part, avec un accent sur la formation. Ce seront les dernières mesures, plutôt dans deux ou trois ans. »

    Olivier Lerude

« Les collectivités territoriales vont être des acteurs majeurs dans le champ de l’incitation ou de la prescription » (Juliette Raoul-Duval)

  • « Cet été, nous avons consulté les professionnels des musées d’ICOM The International Council of Museums France au travers d’une enquête qui porte sur le développement durable. Les résultats seront publiés sur notre site d’ici peu de temps.
  • Juliette Raoul-Duval - ©  Seb Lascoux
    Les professionnels des musées ont conscience de ces urgences et ils le disent. Le chantier est gigantesque. 
  • Nous créons un groupe de travail sur la question du développement durable et l’urgence écologique qui sera annoncé lors de notre AG Assemblée générale le 24/09/2021. 
  • Les musées que nous avons consultés ne restent pas les bras ballants par rapport à cette question, bien au contraire. Ils sont, de longue date, intéressés et actifs et se saisissent de la question du développement durable. 
  • La question de l’urgence écologique n’a pas de frontières. À l’ICOM à l’international, nous travaillons tous ensemble sur cette question. 
  • Cet été, lors du G20 à Rome, tous les ministres de la Culture ont consacré l’idée que la culture avait un rôle essentiel à jouer dans la crise écologique Publié le 02/08/2021 à 18:00
    • Inclure la culture, le patrimoine culturel et le secteur créatif dans les stratégies nationales et internationales de relance post-pandémie,
    • Harmoniser la réglementation et l’application des lois…
    . Les musées sont parmi les lieux qui ont la plus grande crédibilité. Ils ont pour vocation d’être des pédagogues. Ils ont pour vocation de mettre en scène un certain nombre d’enjeux sociaux. Cela a été consacré par la déclaration de cet été par les ministres de la Culture du G20. 
  • Le sentiment que j’ai, c’est que la donne a changé. Forcément avec ce qu’il nous est arrivé il va falloir inventer de nouvelles formes d’actions. 
  • À Rome, les ministres de la Culture ont mis la culture au cœur du dispositif de lutte contre l’urgence climatique. J’espère beaucoup que cela va être suivi d’effets concrets car la culture peut quelque chose. 
  • Inciter ou prescrire, je n’ai pas à choisir. Il faudra envisager des mesures d’incitation mais aussi des mesures de prescription. Les bouteilles d’eau, les transports, ça a l’air anecdotique mais ce sont des choses qui font bouger les lignes. 
  • Oui, il y a l'État, mais les collectivités territoriales sont aussi des acteurs importants, et vont être des acteurs majeurs dans le champ de l’incitation ou de la prescription sur ces sujets. 
  • Les acteurs culturels doivent avoir des outils de mesure des actions qu’ils conduisent »

    Les acteurs culturels doivent avoir des outils de mesure des actions qu’ils conduisent. Le militantisme individuel et collectif est important, mais il faut des outils de mesure sinon on va épuiser les forces. 

  • Ces sujets ne peuvent se penser qu’à l’échelle internationale. La France va bientôt prendre la présidence à la Commission européenne pour six mois. Préparons des mesures d’incitation innovantes et originales. 
  • Il y a, dans le champ des musées, des associations, des organisations non-gouvernementales, qui sont explicitement reconnues. Notre souhait, c’est de dire : prenez appui sur nous. L’ICOM est un réseau extrêmement actif, mais il en existe d’autres, comme la fédération des écomusées et des musées de société, l’association des conservateurs, l’association des musées et centres pour le développement de la culture scientifique et technique, etc. Il faut tous se mobiliser. »

    Juliette Raoul-Duval

« L’urgence, c'était de définir une méthode. La contrainte arrivera à la fin » (Thierry Teboul)

  • Thierry Teboul - ©  Seb Lascoux
    « Traiter la question de l’écologie sur le ton de l’urgence, c’est oublier que c’est un sujet de temps long, qui doit se structurer. 
  • Nous avions un problème de méthode. L’urgence, c’était de définir une méthode. Car quand on n’a pas de méthode on se heurte à un problème de curseur. La méthode permet de nous inscrire dans un temps long.
  • La loi climat confère aux opérateurs de compétences le devoir d’informer tous leurs adhérents sur les enjeux en matière de développement durable et de transition énergétique. 
  • La contrainte arrivera à la fin. On ne peut pas contraindre quand on n’a pas préparé les professionnels à quelque chose. À chaque fois qu’on a essayé de leur imposer quelque chose sans avoir préparé la question, cela n’a pas fonctionné. 
  • Si on informe bien, si on incite avec une bonne méthode, la position de la contrainte arrivera naturellement.
  • À l’Afdas, on a lancé des auto-diagnostics pour les petites et moyennes entreprises sur leur état d’avancement sur les transitions écologiques. On n’a jamais eu autant de demandes, on a été complètement débordés de demandes. 
  • Dans un cycle politique, si nous sommes dans le registre de la colère et qu’on ne passe pas au stade de l’action, cela peut déboucher à de la fatigue. 
  • Je crois qu’on est sur la bonne courbe. La logique entrepreneuriale est en train de prendre le pas sur la logique de colère. »

    Thierry Teboul

« Faire du tout numérique est-il si écologique que cela ? » (Juliette Raoul-Duval)

  • « Sur la compensation carbone, la raison pour laquelle ce sujet est porté aussi fort dans toutes les enceintes d’État aujourd’hui, c’est parce que le dispositif “service éco-responsable” impose cette compensation carbone. Mais comment mesure-t-on les émissions carbone ? Comment les compenser ? 
  • Cela n’empêche pas les opérateurs d’avoir des initiatives, de compenser à leur manière, mais avec une grosse difficulté : un opérateur public a des statuts. Quand un musée investit dans quoi que ce soit, cela doit être en rapport avec son activité muséale. Par exemple, il n’a pas le droit d’investir dans des plantations d’arbres en Amérique du Sud pour éviter la déforestation en Amazonie car il sort de son champ de compétences. 
  • On est au début de quelque chose. Il reste beaucoup à inventer, à mettre en place. »

    Olivier Lerude
  • « Envisager de ne pas chauffer les musées, cela revient à les fermer d’octobre à mai. Cela réveille la polémique de 2020, à savoir est-ce que la culture et les musées sont essentiels ? Je crois que la société a très clairement répondu à la question. 
  • Envisager de fermer les musées, ça veut dire quoi ? Faire du tout numérique ? Pensez-vous que cela soit si écologique que cela ? 
  • Quand on vient au musée, on se trouve devant des traces tangibles, authentiques qui témoignent de l’histoire des arts, de la société, de la nature, de l’environnement. »

    Juliette Raoul-Duval

Olivier Lerude


• Professeur agrégé d’histoire

• Docteur en sciences politiques

• Architecte urbaniste en chef de l’État


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Parcours

DRAC Île-de-France
Chef de projet Territoires de culture durable
Ministère de la Culture
Architecte et urbaniste de l'État en chef
Ministère de la Culture
Haut fonctionnaire au développement durable
Ministère de la Culture
Adjoint à la haute fonctionnaire au développement durable
Ministère de la Culture
Direction générale des patrimoines
Ministère du développement durable
Direction régionale et interdépartementale de l’équipement et de l’aménagement - Service de l’Aménagement

Fiche n° 43744, créée le 01/06/2021 à 14:29 - MàJ le 21/11/2022 à 12:06

Juliette Raoul-Duval


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Parcours

ICOM Europe
Présidente
ICOM France
Présidente
Universcience
Secrétaire Générale du Palais de la Découverte
Ministère de la Recherche et de l’Enseignement supérieur
Chef du bureau des Musées et établissements nationaux

Fiche n° 369, créée le 23/10/2013 à 20:14 - MàJ le 10/10/2022 à 09:02

Laurence Recchia


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Parcours


Co-fondatrice, administratrice et chanteuse
FiMé Festival nternational des Musiques d'Écran
Co-fondatrice et coordinatrice générale
Hachette Livre
Chef de fabrications, Editions Marabout

Établissement & diplôme

Aix-Marseille Université (AMU)
Licence conception, mise en oeuvre de projets culturels - médiation culturelle
Ecole supérieure Estienne des arts et des industries graphiques
BTS Edition

Fiche n° 43802, créée le 09/06/2021 à 10:02 - MàJ le 09/06/2021 à 10:17

Thierry Teboul


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Parcours

Afdas
Directeur général
Groupe IGS Paris
Délégué régional Île-de-France
Apprentissage-Alternance (Groupe IGS)
Directeur
Groupe IGS
Directeur des études post-bac+2
Groupe IGS
Activités pédagogiques
RG Consultants associés
Directeur des études socio-économiques
Association Créatique
Conseil en création d’entreprises

Établissement & diplôme

Université Paris Nanterre
DEA en Sciences politiques
Université Paris Nanterre
Maîtrise d'économie mention internationale

Fiche n° 701, créée le 08/11/2013 à 18:08 - MàJ le 30/08/2022 à 15:53

News Tank Culture (NTC)

• Média d’information indépendant et innovant, spécialisé dans l’actualité de la musique, du spectacle vivant, des musées, monuments et du patrimoine et, depuis 2023, des nouvelles images.
• Création : septembre 2012
• Proposant à la fois un fil d’actualités, des dossiers de fonds, des interviews et de grands entretiens, des data et un annuaire des professionnels et des organisations, News Tank Culture s’adresse aux dirigeants et acteurs de la culture. Il organise également chaque année Think Culture, une journée d'échange et de débat autour de l’innovation dans le pilotage de la culture, avec la volonté de décloisonner les secteurs culturels.

• Direction :
- Bertrand Dicale, directeur général
- Anne-Florence Duliscouët, directrice déléguée, en charge des contenus
- Jacques Renard, directeur délégué Think Culture
- Alexis Bouhelier, directeur du développement

• News Tank Culture est une filiale de News Tank Network, créée par Marc Guiraud et Frédéric Commandeur, qui a également développé :
- News Tank Sport,
- News Tank Éducation et Recherche,
- News Tank RH Management,
- News Tank Cities,
- News Tank Mobilités,
- News Tank Énergies.

Le groupe emploie une centaine de collaborateurs.


Catégorie : Média
Maison mère : News Tank (NTN)


Adresse du siège

48 rue de la Bienfaisance
75008 Paris France


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Fiche n° 6882, créée le 03/04/2018 à 03:02 - MàJ le 04/04/2024 à 12:04


© News Tank Culture - 2024 - Code de la propriété intellectuelle : « La contrefaçon (...) est punie de trois ans d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende. Est (...) un délit de contrefaçon toute reproduction, représentation ou diffusion, par quelque moyen que ce soit, d'une oeuvre de l'esprit en violation des droits de l'auteur. »

©  Seb Lascoux
©  Seb Lascoux