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Paris 2024 : « Avoir un lieu ouvert constituant un marqueur des Jeux » (S.-J. Lieber, La Villette)

News Tank Culture - Paris - Interview n°329319 - Publié le 24/06/2024 à 11:30
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©  La Villette
Sophie-Justine Lieber - ©  La Villette

« En tant que grand parc de l’Est parisien avec une fréquentation très populaire, c’était une bonne idée d’avoir à la Villette un lieu ouvert constituant un marqueur des Jeux de Paris 2024 (…) La Villette se situe de surcroît à équidistance entre les compétitions qui se dérouleront dans le centre de Paris (notamment au Grand Palais) et les équipements nouveaux de Seine-Saint-Denis. Il s’agissait donc d’un lieu très attractif », indique Sophie-Justine Lieber, directrice générale de l’Établissement public du parc et de la grande halle de la Villette (Paris 19e). Le site se transformera en Parc des nations, accueillant les sportifs et le public, pendant toute la durée de la compétition.

« Pendant l’été, la saison culturelle parisienne est beaucoup moins dense. Habituellement, nous avons une programmation qui se termine dans les premiers jours de juillet, que nous avons légèrement raccourcie. L’impact reste relativement réduit, sauf pour le cinéma en plein air qui ne pourra pas avoir lieu cette année (…) Malgré l’absence de ce dernier, énormément d’activités vont être proposées dans le cadre des différents clubs », indique-t-elle.

« Sur le fonctionnement du site, nous avons un budget JOP Jeux Olympiques et Paralympiques suivi à part de celui de l’établissement, puisqu’il s’agit d’un moment particulier. Nous avons à la fois un partenariat privilégié avec le Club France et fonctionnons, à l’échelle du Parc des nations, sur une logique de locatif événementiel. Le modèle habituel, qui est le nôtre en tant qu’EPIC Établissement public industriel et commercial , consiste à trouver la moitié de notre budget en recettes propres. Or, 1/3 de ces recettes propres proviennent de l’événementiel locatif (comme les salons). Les JOP viendront donc se greffer sur cette tranche », ajoute enfin la directrice générale de l’EPIC.

Transformation de la Villette en Parc des nations, collaboration avec les Comités Nationaux Olympiques, projet en lien avec les 20 écoles d’architecture françaises, attention portée aux publics habituels du parc ou caractère pérenne des aménagements effectués, Sophie-Justine Lieber répond aux questions de News Tank.


Avec le Parc des nations, La Villette s’inscrit dans la temporalité des JOP avec une dynamique festivalière. Comment et en quoi cette dernière fait-elle écho à l’ADN du site ?

Quand la France a su qu’elle remportait l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, la Villette ne figurait pas parmi les tout premiers établissements engagés dans le projet. Or, le président de l’époque, Didier Fusillier Président @ GrandPalaisRmn (RMNGP) • Directeur artistique @ Les Berges de Seine à Paris
, a fait valoir qu’en tant que grand parc de l’Est parisien avec une fréquentation très populaire, il serait une bonne idée d’avoir à la Villette un lieu ouvert constituant un marqueur des Jeux. À l’époque, nous ne savions pas encore s’il s’agirait d’un lieu de compétition ou d’un lieu de festivités. La Villette se situe de surcroît à équidistance entre les compétitions qui se dérouleront dans le centre de Paris (notamment au Grand Palais) et les équipements nouveaux de Seine-Saint-Denis. Il s’agissait donc d’un lieu très attractif.

S’accomoder à une grande diversité de projets »

La Villette permet, du fait de la modularité de ses espaces, de s’accommoder à une grande diversité de projets, en intérieur comme en extérieur, dans des lieux très variés. Il a été choisi que ce soit le Club France qui vienne dans la grande halle et sur les pelouses situées sur son côté Est. Comme le Club France venait, un certain nombre de clubs nationaux olympiques étrangers se sont également intéressés au site. Les espaces sont immenses avec 55 hectares qui permettaient, soit d’utiliser les bâtiments existants, soit de construire des choses ex nihilo sur des pelouses. Les différents CNO Comité National Olympique sont venus par strates successives.

À l’intérieur de la Grande Halle, on trouvera à la fois un petit espace VIP, pour accueillir les athlètes à l’issue de leurs compétitions, et un grand espace dévolu à l’accueil du public. Il s’agira d’un lieu de fête, dont la programmation est en phase de finalisation du côté du Club France. Ils ont notamment prévu la diffusion d’épreuves ainsi que des concerts à l’intérieur, et des food trucks à l’extérieur. Les espaces ouvriront en fin de matinée et jusqu’à 23h le soir pour accueillir du public en continu.

Plusieurs sites du parc seront investis par des nations participant aux JOP (le Canada à la Cité des Sciences, les Pays-Bas au Zénith Salle de spectacles située dans le Parc de la Villette (Paris 19e) • Inauguration : le 12/01/1984, avec Jacques Higelin, Zéro de Conduite, Renaud et Charles Trenet • Capacité d’accueil … ). Comment les sites ont-ils été associés aux pays et quelles activités s’y déploieront ?

L’attribution des différents espaces s’est faite en fonction des projets envisagés par les clubs étrangers. Nous avons une équipe événementielle en interne qui leur a présenté différents lieux, puis les choix se sont faits assez rapidement. Par exemple, pour les Pays-Bas qui investiront le Zénith, ils cherchaient un lieu où proposer de gros concerts. Le Zénith tombait très bien en termes de jauge, d’équipements et de savoir-faire. D’autant qu’il est plus compliqué d’organiser des concerts dans le parc qui a des voisins et pour lequel nous disposons de prescriptions très précises sur nos impacts.

Nous avons aussi été sollicités assez tôt par le CNO Comité National Olympique du Brésil qui a eu un coup de cœur pour notre espace chapiteaux. Ce dernier, avec son atmosphère festive, pouvait être aménagé comme ils l’entendaient. La Mongolie, quant à elle, installera de grandes yourtes, notamment sur un joli bout de pelouse le long du canal, à proximité du restaurant Le Ventrus. Les CNO ont pour objectif de présenter une vitrine de leur pays, avec notamment, pour beaucoup d’entre eux, des projets culinaires.

• Le Brésil à l’espace chapiteaux
• Le Mexique au Pavillon Villette (expériences sensorielles, concerts, etc.)
• La Mongolie à la prairie de la Folie Kiosque
• Le Canada à la Cité des Sciences et de l’Industrie
• La Slovénie au 211
• Chinese Taipei (Taïwan) à la Folie Kiosque (spectacles, installations vidéo, participation de 100 artistes)
• Les Pays-Bas au Zénith pendant les Jeux Olympiques puis au Cabaret Sauvage pendant les jeux paralympiques
• La Slovaquie au Ventrus
• La Serbie au théâtre Paris Villette (exposition d’archives écrites et photos, découverte de la cuisine et des vins)
• La République Tchèque au Cabaret Sauvage (découverte des boissons typiques du pays, etc.)

Les événements perturberont-ils certaines activités culturelles habituellement accueillies à La Villette pendant cette période ?

Pendant l’été, la saison culturelle parisienne est beaucoup moins dense. Habituellement, nous avons une programmation qui se termine dans les premiers jours de juillet, que nous avons légèrement raccourcie. L’impact reste relativement réduit, sauf pour le cinéma en plein air qui ne pourra pas avoir lieu cette année, puisque la pelouse sera occupée par le Club France. La Cité des sciences et de l’Industrie par exemple restera ouverte malgré un espace dévolu au Canada. Quant à la Philharmonie • Établissement public de la Cité de la Musique, renommé « Établissement public de la Cité de la musique - Philharmonie de Paris » en septembre 2015 • Cité de la musique conçue par l’architecte… ou le Zénith, leur programmation s’arrête à l’été. Il s’agit également d’une période, par définition, très calme pour le Conservatoire • Premier établissement public français de transmission des arts musicaux et chorégraphiques• Création : 1975• Missions fixées par le décret n° 2009-201 du 18/02/2009 : dispenser un enseignement… .

Des activités (…) proposées dans les différents clubs »

Malgré l’absence du cinéma en plein air, énormément d’activités vont être proposées dans le cadre des différents clubs. Nous avons également été très investis dans le cadre de l’Olympiade culturelle, avec plusieurs spectacles labellisés. Nous avons enfin proposé au Club France que les fédérations sportives françaises puissent être accueillies dans le cadre du projet Archi-folie que nous menons pour le compte du ministère de la Culture • Création : 1959 • Missions : - rendre accessibles au plus grand nombre les œuvres capitales de l’humanité et d’abord de la France, - conduire la politique de sauvegarde, de protection et de… .

Comment s’est construite la collaboration avec les vingt écoles d’architecture de France pour la création des Archi-Folies ?

Nous avons proposé aux fédérations de rencontrer des écoles nationales d’architecture. Chaque école a conçu et bâti, avec ses étudiants, un pavillon pour chaque fédération. Ce projet a été inauguré le 14/06/2024 et est ouvert au public jusqu’au 07/07/2024. Il s’agit d’une proposition culturelle inédite, accessible gratuitement du mercredi au dimanche. Des visites, proposées par le CAUE Conseils d’architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement 75, permettent de découvrir, grâce à des personnes très compétentes en architecture, la manière dont chaque pavillon a été conçu et imaginé.

« Ascension » de l’ENSA Paris-Est pour la Fédération française d’escalade
« Surf la kaz » de l’ENSA de la Réunion pour la Fédération française de surf
« Immersion bleutée » de l’ENSA Grenoble pour la Fédération française de canoë-kayak
« Folie de la voile » de l’ENSA Marseille pour la Fédération française de voile
« Avant-garde » de l’ENSA Paris-Malaquais pour la Fédération française d’escrime
« Le Triangle » de l’ENSA Strasbourg pour la Fédération française de triathlon
« Vélodôme » de l’ENSA Clermont-Ferrand pour la Fédération française de cyclisme
« Le Manège » de l’ENSA Versailles pour la Fédération française d’équitation
« Pavillon du rugby » de l’ENSA Toulouse pour la Fédération française de rugby
« Papillon » de l’ENSA Lille pour la Fédération française de basket-ball
« Step by step » de l’ENSA Lyon pour la Fédération française de danse

Ce gros projet s’est déployé avec beaucoup de partenaires. L’idée de départ avait été soumise par Didier Fusillier au ministère de la Culture et notamment à la DGPA Direction générale des patrimoines et de l’architecture , tutelle des écoles d’architecture. Nous travaillons dessus depuis deux ans, dans le cadre d’un partenariat très rapproché. Le ministère a porté le sujet auprès des écoles, afin que des professeurs s’en saisissent. Pour la plupart des établissements, plusieurs promotions ont travaillé sur le projet. Une première promotion a conçu le projet qui a ensuite été réalisé par la promotion suivante. Nous avons aussi été aidés sur le chantier par les Grands Ateliers, GAIA, filiale de l’ENSA de Grenoble. Ils ont proposé un espace d’atelier aux écoles pour construire un certain nombre de choses et ont totalement supervisé le chantier.

Le projet a bénéficié d’un financement très important du ministère de la Culture, de l’établissement public de La Villette et l’ensemble des acteurs (ministère, l’EPIC et les écoles) sont allés chercher des mécènes, qui ont pu contribuer par l’apport de fonds comme de matériaux. Enfin, la Villette a mis à disposition un certain nombre d’équipements et notamment des camions pour transporter les éléments de chaque école au bon endroit. Chaque école a eu neuf jours pour monter les éléments, sur la base d’un roulement organisé par GAIA, afin qu’elles ne se gênent pas.

Le fait de ne pas déloger les publics habituels du parc, notamment dans le maintien du Jardin du dragon ou des zones dédiées aux sportifs amateurs, figurait-il parmi vos objectifs ?

Nous sommes très soucieux de nos usagers »

Nous sommes très soucieux de nos usagers. Le parc reçoit quand même plus de 12 millions de visiteurs par an, une grande partie de ces visiteurs se concentrant sur l’été. Les pelouses et la déambulation dans le parc sont particulièrement appréciées. Nous avons donc fait attention à ce qu’il reste un espace ouvert pendant le Club France. Chaque espace de club fera évidemment l’objet de mesures de sécurité et de contrôles à l’entrée, mais il sera toujours possible de traverser librement le parc d’un bout à l’autre. Cette volonté a été prise en compte dès la mise en place du projet. Nous avons aussi veillé à laisser ouvert, pour les enfants, le Jardin du dragon, ainsi que les espaces dédiés à la pratique du sport amateur (Jardin des voltiges et le nouveau terrain de basket 3x3 récemment inauguré).

Quel est le budget pour le projet global d’aménagement du site et quel en a été le mode de financement ?

Les coûts d’investissements pour l’aménagement du parc
  • 1,61 M€ pour l’amélioration de l’accueil du public (rénovation des principaux axes de circulation, accessibilité et ajout blocs sanitaires)
    • a bénéficié d’un financement FNADT Fonds national pour l’aménagement et le développement du territoire
  • 2,3 M€ pour la transformation de l’espace chapiteaux
    • a bénéficié du plan de relance
  • 3,27 M€ pour la rénovation des éclairages extérieurs
    • a bénéficié d’un financement FNADT et du plan de relance
  • 1,39 M€ pour le renforcement de la sécurisation
    • a bénéficié du FNADT
  • 0,31 M€ pour la création d’un terrain de basket 3X3 et d’un arbre à basket
    • inauguré le 28/05/2024
    • a bénéficié d’un mécénat BPCE et du soutien de l’Agence Nationale du Sport
  • 0,39 M€ pour l’augmentation du parc de vidéosurveillance et création d’un dispositif sonore d’urgence
    • a bénéficié du FNADT
  • 0,24 M€ pour des travaux de remise en état de la Grande Halle (parquet, portes, espaces techniques, etc.)
Les dépenses en fonctionnement à la charge de l’EPPGHV
  • 4,6 M€ hors Archi Folies (sécurité, accueil des publics, nettoyage, etc.)

Sur le fonctionnement du site, nous avons un budget JOP suivi à part de celui de l’établissement, puisqu’il s’agit d’un moment particulier. Nous avons à la fois un partenariat privilégié avec le Club France et fonctionnons, à l’échelle du Parc des nations, sur une logique de locatif événementiel. Le modèle habituel qui est le nôtre, en tant qu’EPIC, consiste à trouver la moitié de notre budget en recettes propres. Or, 1/3 de ces recettes propres proviennent de l’événementiel locatif (comme les salons). Les JOP viendront donc se greffer sur cette tranche.

Nous nous ne ferons pas particulièrement de bénéfice sur les Jeux, même si nous nous efforçons de ne pas perdre d’argent. Dans le profil de l’établissement, les JOP nous rapporteront moins qu’une grande exposition. Nous nous efforçons d’avoir un équilibre et de mettre l’établissement dans des dispositions un peu particulières du fait de cet événement exceptionnel. Nous allons avoir beaucoup de coûts liés à l’accueil du public (sécurité, signalétique particulière, frais d’entretien de nos pelouses). Nous ajoutons aussi beaucoup de poubelles, de toilettes, de fontaines à eau. Nous allons également proposer une zone de brumisation pour avoir un espace de fraîcheur à proximité du canal.

Un certain nombre d’investissements seront pérennes »

Un certain nombre d’investissements seront pérennes (rénovation des principaux axes de circulation, accessibilité pour les personnes en situation de handicap, etc.). Nous avons rajouté des pavés sciés qui permettent de rouler beaucoup plus confortablement, mais aussi des éclairages extérieurs et des systèmes de sécurité pour pouvoir évacuer le parc rapidement si nécessaire. Nous avons aussi ajouté des toilettes pérennes qui constituaient une demande de longue date de la part de nos usagers et de nos partenaires. Nous avons été très accompagnés par le FNADT, géré par la préfecture de la Région Île-de-France, et les dépenses se sont évidemment faites sur plusieurs années.

Une partie des aménagements réalisés sont destinés à être pérennes. Les installations éphémères seront-elles réemployées ?

Pour Archi-folies, le cahier des charges comportait des éléments très précis quant au fait d’avoir des structures entièrement démontables et remontables ailleurs. L’idée était que les pavillons, une fois les Jeux passés puissent aller vivre une deuxième vie dans une collectivité, une fédération sportive, etc. Nous avons prévu qu’ils puissent être facilement démontés et remontés dans un autre endroit. Par ailleurs, pour ceux qui ne trouveraient pas de seconde vie, les matériaux sont quasiment entièrement recyclables. Les étudiants se sont pris au jeu avec des matériaux comme de la paille ou, dès l’origine, des matériaux issus du réemploi. Le processus est à la fois vertueux et beau. Ce réemploi raconte une histoire et participe de la beauté des pavillons.

Du côté de la Villette, nous avons aussi joué le jeu avec le petit deck proposé devant les pavillons. Il s’agissait d’une demande du ministère de la Culture pour permettre de visiter confortablement les pavillons et de donner une unité à l’ensemble. Nous avons travaillé avec des matériaux que nous récupérerons par la suite (puisqu’il s’agit de decks que nous utilisons en théâtre). Les luminaires seront également réutilisés une fois l’événement terminé.

Sophie-Justine Lieber


• 2002-2004 : élève à l’ENA (promotion Léopold Sédar Senghor)

• Née le 09/05/1968


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Parcours

Conseil d’État
Conseillère d’État en service ordinaire
Ministère de la Culture
Directrice de cabinet de Roselyne Bachelot
Hadopi
Membre suppléant de la Commission de la Protection des Droits
Centre National du Cinéma et de l’image animée (CNC)
Présidente de la commission du cinéma d’art et d’essai
Ministère de la Culture
Médiatrice du livre
École du Louvre
Présidente du conseil d’administration
Conseil d’État
Maître des requêtes
Ministère de la Culture
Conseillère en charge du numérique au cabinet de la Ministre
Commission sur la numérisation des fonds patrimoniaux des bibliothèques
Rapporteure
Conseil d’État
Rapporteure
Ministère de la Culture
Conservatrice de bibliothèque, Cheffe du Bureau du livre français à l’étranger
Banque de France
Économiste

Fiche n° 3459, créée le 17/04/2014 à 12:35 - MàJ le 24/06/2024 à 09:12

Établissement public du parc et de la Grande Halle de la Villette (EPPGHV)

• L’Établissement public du parc et de la Grande Halle de la Villette, dont le statut est celui d’un EPIC (Établissement public à caractère industriel et commercial), existe sous sa forme actuelle depuis janvier 1993.

• Missions  :
- aménagement et gestion des espaces bâtis et paysagers du parc
- programmation culturelle de la grande halle (cirque contemporain, danse, théâtre, musique…), de l’espace Chapiteaux (cirque contemporain), du Pavillon Paul Delouvrier (Little Villette) et du Pavillon Villette (résidences d’artistes, spectacles…) et des espaces de plein air (cinéma, concerts…)
- en charge des 26 folies, des 12 jardins thématiques et des prairies
- coordination du projet des Micro-Folies

• Fréquentation globale (expositions et spectacles)  : 1 314 697 visiteurs en 2023

• Présidente : Blanca Li (nommée par un décret présidentiel en date du 05/06/2024)
• Direction générale : Sophie-Justine Lieber (depuis le 10/10/2022)

• Contact  : Christelle Masure, directrice de la communication et des publics
• Tél. : 01 40 03 74 85


Catégorie : Etat


Adresse du siège

211 Avenue Jean Jaurès
75019 Paris France


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Fiche n° 70, créée le 27/09/2013 à 13:23 - MàJ le 20/09/2024 à 16:32


© News Tank Culture - 2024 - Code de la propriété intellectuelle : « La contrefaçon (...) est punie de trois ans d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende. Est (...) un délit de contrefaçon toute reproduction, représentation ou diffusion, par quelque moyen que ce soit, d'une oeuvre de l'esprit en violation des droits de l'auteur. »

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