« Être ville pilote pour l’expérimentation des modalités d’ouverture adaptées aux contraintes sanitaires dans sept musées ou espaces d’exposition municipaux à Bordeaux (Gironde) », telle est la proposition faite par Pierre Hurmic, maire (EELV Europe Écologie Les Verts ) de la Ville, à Roselyne Bachelot Présidente @ Fédération des Ensembles Vocaux et Instrumentaux Spécialisés (FEVIS)
• Pharmacienne de formation • Animatrice de « 100 % Bachelot » sur RMC (2016-2017) et co-animatrice de « Le Grand… , ministre de la Culture, le 17/02/2021. La municipalité propose notamment « de mettre en place une jauge de 10 m² par personne et une réservation obligatoire, d’amplifier les heures d’ouverture en évitant les heures de pointe dans les transports en commun ou encore d’adapter les systèmes de climatisation ». 

« La Ville de Bordeaux anime depuis plusieurs mois, en appui de la gestion de crise, un conseil de résilience sanitaire, composé de 19 membres, pour moitié des médecins et professeurs en médecine, représentant différentes spécialités, et pour une autre moitié de spécialistes reconnus dans le champ des sciences humaines et sociales (économiste, avocat, sociologue, philosophe, démographe, etc.). Celui-ci pourrait être mobilisé pour accompagner l’expérimentation de ces nouveaux protocoles dans le cadre de réouvertures progressives, au sein d’un groupe de suivi associant également les services de la DRAC Direction régionale des affaires culturelles et les autorités sanitaire et préfectorale », indique la municipalité. 

L’association Villes de France, représentant les villes de 10 000 à 100 000 habitants et présidée par Caroline Cayeux, maire (DVD divers droite ) de Beauvais (Oise), avait également proposé de « mettre en place des zones sanitaires expérimentales permettant la réouverture des lieux culturels » le 08/02/2021, à la suite de la réunion organisée par Roselyne Bachelot avec des responsables de musées et monuments. « Basée sur le volontariat, ces espaces seraient expérimentés pendant une durée de 15 jours avec l’application d’un protocole sanitaire plus strict (démultiplication des tests antigéniques aux abords des lieux culturels, limitation du nombre de personnes…) », précisait l’association.