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ExclusifFestival Impatience : le parcours des lauréats du Prix du Jury depuis la 1re édition

News Tank Culture - Paris - Actualité n°106061 - Publié le 14/12/2017 à 15:50
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©  D.R.
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À l’occasion de la 9e édition du Festival Impatience (du 12 au 22/12/2017), News Tank dresse un état des lieux de la carrière des huit compagnies et collectifs lauréats du Prix du Jury. Créé en 2009 à l’initiative de l’Odéon-Théâtre de l’Europe (Paris 6e), en partenariat avec Télérama, le Festival Impatience a pour objectif « de faire connaître de jeunes compagnies auprès du grand public et des professionnels (programmateurs et journalistes) ». Depuis 2011, la manifestation est organisée par Le Centquatre (Paris 19e), en partenariat avec un ou plusieurs établissements culturels d’Île-de-France et Télérama. Trois prix sont remis à l’issue du festival : le Prix du Jury, le Prix du Public et, depuis la 6e édition (2014), le Prix des Lycéens.

Le Festival Impatience a accueilli un total de 60 compagnies et collectifs. Les compagnies françaises sont les plus représentées (42). Six compagnies belges, une franco-israélienne, une allemande, une espagnole, une italienne et une mexicaine ont également présenté des pièces.

News Tank propose un tableau détaillant la diffusion dont a bénéficié chaque lauréat ainsi que l’état d’avancée de chacun d’eux. Le Prix du Jury a récompensé cinq compagnies et collectifs français, deux belges et une compagnie franco-israélienne. Le jury, renouvelé en partie chaque année, est composé de directeurs d’établissements culturels, écrivains, journalistes, comédiens et metteurs en scène.


Les lauréats du Prix du Jury du Festival Impatience


Note : * Les représentations données et à venir sont prises en compte dans le comptage
Source(s) : Informations recueillies par News Tank auprès des compagnies lauréates.

Édition 2016 

« Être reconnu reste encore aujourd’hui compliqué »

« Je dirais que le Prix du Jury du festival Impatience nous a donné de la visibilité et donc de la légitimité. Les professionnels et les journalistes sont présents durant le festival et participent donc de cette visibilité. Nous avons très rapidement enchaîné sur une nouvelle création, “Winterreise”, pour laquelle nous avons trouvé des coproducteurs (La Rose des Vents, Scène nationale, le Pôle Arts de la scène - Friche la Belle de Mai et le Festival Actoral), ce qui n’était pas le cas pour “Lotissement”. Néanmoins, être reconnu reste encore aujourd’hui compliqué.

Pour la première fois lors de l’édition 2016, le lauréat du Prix du Jury avait l’opportunité de jouer au Festival d’Avignon. “Lotissement” a donc été présenté au gymnase du lycée Saint-Joseph à Avignon du 22 au 24/07/2016. »

Tommy Milliot (Cie Man Haast)

Cie Man Haast avec Lotissement, mise en scène Tommy Milliot (Prix du Jury)

Collectif Le Grand Cerf Bleu avec Non c’est pas ça ! (Treplev variation), mise en scène Collectif Le Grand Cerf Bleu (Prix du Public)

Cie À tire d’aile avec Iliade, mise en scène Pauline Bayle (Prix des Lycéens)

Cie Lyncéus avec Et, dans le regard, la tristesse d’un paysage de nuit, mise en scène Lena Paugam

Cie Interpréludes avec Théâtre, mise en scène Marcus Borja

Collectif Mariedl (Belgique) avec Homme sans but, mise en scène Coline Struyf

La Camara Oscura avec Big Shoot, mise en scène Alexandre Zeff

Cie L’An 01 avec ADN Acide DésoxyriboNucléique, mise en scène Yohan Bret.

Édition 2015

« Le Prix nous a offert une visibilité à laquelle nous n’aurions sans doute jamais eu accès » 

« Nous avions 12 pré-achats quand nous avons créé le spectacle, ce qui nous semblait assez peu. Nous nous attendions à ce que plus de théâtres s’engagent sur la première saison étant donné les bons échos que nous avions eu pour notre précédent spectacle “L’Assommoir” et du réseau que nous commencions à constituer.

Le spectacle a eu, les saisons qui ont suivi le festival, une très belle vie. En 2015-2016, nous avons organisé une tournée dans le Sud-Ouest et, grâce au bouche-à-oreille du festival, nous avons joué dans des festivals nationaux (le Printemps des Comédiens à Montpellier, Théâtre en mai, Perspectives, le Festival Wet à Tours et le festival du TNB Théâtre national de Bretagne ). En 2016-2017, le Prix Impatience nous a permis de jouer trois semaines au 104. Nous avons ensuite pu organiser une tournée nationale de 24 dates. 

Dans notre cas, le Prix a été un véritable tremplin car il nous a offert une visibilité à laquelle nous n’aurions sans doute jamais eu accès, ou alors avec beaucoup plus de temps. Dans la salle se trouvaient de nombreux directeurs et directrices de théâtre. Nous avons donc pu considérablement élargir notre réseau. Nous avons beaucoup moins de difficulté à obtenir des rendez-vous. Les théâtres nous répondent plus rapidement. Nous sommes “identifiés”. Ce qui nous a permis ensuite de rêver à un spectacle très ambitieux réunissant 7 acteurs et actrices pour 7 auteurs et autrices : “Pavillon Noir”. Une production qui nécessitait plus de partenaires. »

Fabienne Signat (administratrice du Collectif OS’O)

Collectif OS’O avec Timon/Titus, mise en scène David Czesienski (Prix du Jury et du Public)

Cie Coup de Poker avec Nuit, mise en scène Guillaume Barbot (Prix des Lycéens)

Ensemble Esprits Libres avec La Fausse Suivante, mise en scène Jérémy Ridel

Cie Les Corps Vagabonds avec Las Mujeres se Detuvieron a Mirar el Aire y de la Tierra rompieron las Flores, mise en scène Liza Machover

Cie Les Vagues Tranquilles avec Une journée chez Fukang, mise en scène Zhuoer Zhu

Cie Magique-Circonstancielle avec Balakat, mise en scène Delphine Hecquet

Collectif Cohue avec Visage de Feu, mise en scène Martin Legros

Théâtre du Balèti avec Dévoration, mise en scène Maxime Franzetti

Ubik Group avec Pourquoi Eve vient-elle chez Adam ce soir ?, mise en scène Ubik Group

Cie Ad Hominem avec Bleu Bleu, mise en scène Stéphane Arcas.

Édition 2014

« Le Festival Impatience a permis à la compagnie de se structurer, de développer son réseau et d’être repérée du public, mais aussi de la presse et des programmateurs »

« Le Festival Impatience est très suivi par le public, la presse et également par beaucoup de professionnels, ce qui donne une grande visibilité aux projets qui y sont sélectionnés. Le Jury et les lieux organisateurs accompagnent les projets parfois plusieurs années après la sélection au festival et sont soucieux de la structuration des compagnies. J’y ai fait de très belles rencontres et j’ai la chance d’être soutenue depuis par plusieurs lieux partenaires du festival. 

Le Prix du Jury offre au lauréat une diffusion chez les lieux partenaires. Le spectacle a donc bénéficié d’une très belle tournée en France la saison suivante avec une longue série à Paris et en région parisienne. Cela à permis à la compagnie de se structurer, de développer son réseau et d’être repérée du public, mais aussi de la presse et des programmateurs.

Le Festival Impatience à fait naître une association avec le Centquatre, où j’ai créé “Nadia C., la petite communiste qui ne souriait jamais”, d’après le roman de Lola Lafon, en 2016. La compagnie est également en résidence à l’Espace 1789 de Saint Ouen depuis 2015, où nous sommes accompagnés sur tous nos projets depuis “Orphelins”. Nous sommes également associés au Quai, CDN Angers-Pays de la Loire ou nous avons créé “L’Abattage rituel de George Mastromas” de Dennis Kelly en 2017, spectacle soutenu et accueilli par le Théâtre du Rond-Point, au printemps 2017.

J’ai été invitée à rejoindre le jury du festival pour l’édition 2015. J’y ai rencontré Éric Ruf Sociétaire honoraire @ Comédie-Française • Administrateur général @ Comédie-Française
• Acteur de théâtre et de cinéma, metteur en scène et scénographe • 1999 : Grand prix Gérard Philipe de la…
qui m’a ensuite invitée à venir travailler avec la troupe de la Comédie-Française. »

Chloé Dabert (Cie Héros Limite)

Cie Héros Limite avec Orphelins, mise en scène Chloé Dabert (Prix du Jury)

La Meute - collectif d’acteurs avec Belgrade, mise en scène Thierry Jolivet (Prix du Public)

Cie Garçongarçon (Belgique) avec La Vecchia Vacca, mise en scène Salvatore Calcagno (Prix des Lycéens)

Compagnie des divins animaux avec Quatuor Violence, mise en scène Florian Pautasso

Cie Atresbandes (Espagne) avec Solfatara, mise en scène Mònica Almirall, Albert Pérez Hidalgo et Miquel Segovia

La Boîte à outils avec Wake Up ! (system failure), mise en scène Frédéric Jessua

L’Employeur avec Le Temps nous manquera, mise en scène L’Employeur.

Édition 2013

« Le Prix Impatience ne fait pas tout mais il assure une vraie crédibilité auprès des professionnels »

« L’une des singularités douloureuses du spectacle vivant est d’être totalement tributaire de quelques professionnels. Il faut absolument provoquer la rencontre entre le spectacle et les décideurs. “Bad Little Bubble B” n’avait été que très peu vu à La Loge où nous le présentions. Parmi les quelques professionnels à s’être déplacés pour le voir, Nicolas Roux, directeur adjoint du Quai, CDN Angers-Pays de la Loire, l’a soumis à la sélection du festival Impatience.

Pouvoir jouer dans le cadre du festival était déjà une grande récompense car le spectacle ne faisait pas vraiment consensus. Il était peut-être trop “violent” pour bénéficier d’une programmation massive. Seul le Prix Impatience pouvait permettre au spectacle d’exister. Cela nous a permis de jouer à La Rose des vents, Scène nationale de Villeneuve d’Ascq, à L’Apostrophe, Scène nationale du Val d’Oise ainsi qu’au Centquatre.

Le Prix Impatience ne fait pas tout mais il assure une vraie crédibilité auprès des professionnels. 

Notre participation au festival a également été l’occasion d’une rencontre avec Éric Reinhardt, président du jury du Prix Impatience. La dernière création de la compagnie est une adaptation de son roman “L’amour et les forêts”

Par ailleurs, je travaille en partenariat avec le Centquatre sur un film en réalité virtuelle (“Les Falaises de V.”) et la compagnie Mesden y est régulièrement en résidence pour ses créations. »

Laurent Bazin (Cie Mesden)

Cie Mesden avec Bad Little Bubble B, mise en scène Laurent Bazin (Prix du Jury)

Cie Elk avec Petit Eyolf, mise en scène Jonathan Châtel (Prix du Public)

Cie De Facto (Belgique) avec Dehors, mise en scène Antoine Laubin 

Cie Laars & co avec Bodies in the Cellar, mise en scène Vincent Thomasset 

Collectif In vitro avec La Noce, mise en scène Julie Deliquet  

Théâtre DLR² avec Fritz Bauer, mise en scène Pierre-Marie Baudoin 

Cie Moebius avec Lambda, mise en scène Jonathan Moussalli.

Édition 2012

« La “médaille” attribuée au spectacle est flatteuse certes, mais elle permet surtout de mettre en lumière un processus de création »

« L’été qui a suivi l’obtention des Prix du Public et du Jury du Festival Impatience, nous étions programmés à La Manufacture dans le cadre du festival Off d’Avignon. L’étiquette Impatience a fortement contribué à ce que la jauge soit remplie d’un public large et curieux dès la première représentation. Un public qui, dans l’ensemble des propositions du Off, ne se serait peut-être pas forcément orienté vers notre spectacle s’il n’avait pas été épinglé du “label” festival Impatience.

Cette double distinction - attribuée par des professionnels et par le public - a eu pour but de rassurer les uns et d’aiguiser la curiosité des autres.

“Le Signal du promeneur” a été vu par près de trente mille spectateurs sur quatre continents, ce qui était tout à fait inespéré pour la première création d’un collectif. L’artisanat qui caractérise nos créations nous semblait à l’époque très loin de ce que l’on peut voir sur les scènes internationales. C’est pourtant cet artisanat, ce rapport singulier à la création théâtrale qu’est venu encourager le festival Impatience et que nous avons par la suite reconnu comme une condition fondamentale à notre travail.

La “médaille” attribuée au spectacle est donc flatteuse certes, mais elle permet surtout de mettre en lumière un processus de création, que les artistes pourront par la suite plus facilement affirmer et, espérons-le, pérenniser. »

Romain David (Raoul Collectif)

Raoul Collectif (Belgique) avec Le Signal du promeneur, mise en scène Raoul Collectif (Prix du Jury et du Public)

Thalia Theater (Allemagne) avec Invasion !, mise en scène Antù Romero Nunes 

Cie Le Rideau de Bruxelles (Belgique) avec Mamma Medea, mise en scène Christophe Sermet

Collectif De Quark avec La Fête, mise en scène collectif De Quark

Cie Divine Comédie avec Partage de midi, mise en scène Jean-Christophe Blondel

Cie Keti Irubetagoyena avec Embrassez-les tous, mise en scène Keti Irubetagoyena.

Édition 2011

« Le Prix nous a permis d’être rapidement et massivement suivis par les professionnels, particulièrement en France »

« Il est évident que le Prix Impatience et la possibilité qui nous a été donnée de jouer au Centquatre ont été un tremplin. Pour une compagnie émergente c’est forcémment une opportunité incroyable de montrer son travail dans des conditions parfaites devant des professionels et un public attentif.

Le Prix Impatience nous a permis d’être rapidement et massivement suivis par les professionnels, particulièrement en France. »

Ruth Rosenthal et Xavier Klaine (Winter Family)

Winter Family (France-Israël) avec Jerusalem Plomb Durci, mise en scène Ruth Rosenthal et Xavier Klaine (Prix du Jury)

Cie Lagartijas tiradas al sol (Mexique) avec Asalto al agua transparente, mise en scène Luisa Pardo et Gabino Rodríguez (Prix du Public)

Cie La Sérénade Interrompue avec Épousailles et représailles, mise en scène Séverine Chavrier 

Cie De(s)amorce(s) avec Avez-vous eu le temps de vous organiser depuis la dernière fois qu’on vous a vus ?, mise en scène Thissa d’Avila Bensalah 

Collectif PHP avec Le sacrifice des grillons, mise en scène Collectif PHP

Cies Jakart et Mugiscué avec Villégiature, mise en scène Thomas Quillardet

Cie Champ719 avec Des couteaux dans les poules, mise en scène Grégoire Strecker

Cie Anna Nozière avec Les Fidèles - Histoire d’Annie Rozier, mise en scène Anna Nozière.

Édition 2010

« Le Prix Impatience a agi comme un label de qualité »

« Le spectacle a profité d’une combinaison idéale : l’aura et le prestige du Festival Impatience doublés de trois semaines de représentations - dans la foulée - à La Manufacture, dans le cadre du festival Off d’Avignon. Cette combinaison a notamment permis un visionnage important par les opérateurs culturels français et une tournée impressionnante en France les années qui ont suivi. Le Prix Impatience a agi comme un label de qualité. Par ailleurs, des relations particulières se sont créées avec certains membres du jury, en termes d’accompagnement artistique sur du plus long terme. 

C’est un privilège que d’être sélectionné et invité à présenter son spectacle dans ce festival, au regard des nombreux premiers projets qui sont créés chaque saison. C’est donc une première sélection qui s’élabore au niveau européen.

C’est aussi l’occasion de jouer à Paris, ville qui grouille de propositions artistiques, mais qui pourtant ne laisse que peu de place aux projets émergents.

L’aspect concours n’est peut être pas le plus essentiel mais le fait de jouer devant un jury de professionnels reconnus et avisés, est intéressant. Les retours et le regard porté par ces professionnels comportent des aspects constructifs. Eux aussi se posent et découvrent, sur un temps donné, de nouveaux artistes. »

Fabrice Murgia (Cie Artara)

Cie Artara (Belgique) avec Le Chagrin des Ogres, texte et mise en scène Fabrice Murgia (Prix du Jury et du Public)

Babilonia Teatri (Italie) avec Made in Italy, mise en scène Enrico Castellani et Valeria Raimondi

Cie Vita Nova avec Passé - Je ne sais où, qui revient, mise en scène Lazare

Cie Def Maira avec La Cruche cassée, mise en scène Thomas Bouvet 

Cie Le menteur volontaire avec Les Souffrances de Job, mise en scène Laurent Brethome 

Cie Moukden-théâtre avec Chez les nôtres, mise en scène Olivier Coulon-Jablonka

Cie AsaNIsiMAsa avec Toby ou le saut du chien, mise en scène Frédéric Sonntag.

Édition 2009

« Une différence dans le dialogue avec les programmateurs »

« Le spectacle a été créé en 2005. Nous avions beaucoup de mal à le faire connaître auprès de programmateurs. 

Le Prix Impatience a sans doute permis la venue de programmateurs lors des représentations du spectacle, notamment au Théâtre de l’Aquarium (Cartoucherie de Vincennes) où nous avons joué pendant un mois. Les répercussions pour le collectif se sont faites sur un temps long. Nous avons surtout senti une différence dans le dialogue avec les programmateurs.

À la suite de la réception du Prix, nous avons également pu rejouer “La prison”, un spectacle que nous avions créé en 2006. Des représentations ont notamment été données au Théâtre de l’Aquarium lors de la saison 2010-2011 et au Théâtre des Quartiers d’Ivry pour la saison 2011-2012. »

Lucie Nicolas (Collectif F71)

Collectif F71 avec Foucault 71, mise en scène Collectif F71 (Prix du Jury)

Cie La Piccola Familia avec Toâ, mise en scène Thomas Jolly (Prix du public)

Cie Machine Théâtre avec Henry VI, mise en scène Nicolas Oton

Cie Les Hommes Approximatifs avec Macbeth (inquiétudes), mise en scène Caroline Guiela Nguyen et Alexandre Plank

Cie L’Antre du monstre avec À petites pierres, mise en scène Thomas Matalou

Cie de la jeunesse aimable avec L’Enfant meurtrier, texte et mis en scène Lazare Herson-Macarel

Cie du zieu dans les bleus avec Ursule, mise en scène Nathalie Garraud et Olivier Saccomano.

La 9e édition du Festival Impatience du 12 au 22/12/2017

  • Dix équipes artistiques sont retenues pour présenter leur travail au cours de la 9e édition du festival Impatience qui se déroule au Centquatre (Paris 19e), à la Gaîté Lyrique (Paris 3e) et au T2G-Théâtre de Gennevilliers, en partenariat avec Télérama, du 12 au 22/12/2017.

  • Le spectacle lauréat du Prix Impatience bénéficiera d’une diffusion :
    • au Centquatre,
    • au Festival d’Avignon,
    • à L’Apostrophe, Scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise,
    • à l’Espace 1789 de Saint-Ouen,
    • au Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Scène nationale,
    • au Théâtre Louis Aragon à Tremblay-en-France,
    • au Canal, théâtre du pays de Redon,
    • à La Loge à Paris,
    • au Théâtre Populaire Romand à la Chaux-de-Fonds (Suisse)
    • aux Théâtres départementaux de La Réunion,
    • au TU-Nantes,
    • au Théâtre Sorano de Toulouse.
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